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l'employé agricole engrosse une fillette et sa maman
17/10/2006 16:27
L'employé agricole engrosse une mère et sa fille de 14 ans
Le jeudi 12 octobre dernier, vers 23 heures, une dame et sa fille de 14 ans se présentent à la brigade de gendarmerie de Rufisque. Résidant à Sangalkam, elles avaient toutes les deux le ventre ballonnant. L'une d'elles, la plus âgée et qui se trouve être la mère de son accompagnatrice, demande à voir le commandant de brigade. L'homme en bleu la reçoit séance tenante et lui tend une oreille attentive. La dame de lui dire qu'elles sont venues déposer une plainte. Lors de leurs dépositions verbales, la mère et la fille soutiennent qu'elles sont toutes les deux en état de grossesse des œuvres d'une même personne qui habitait le village et qui officiait comme ouvrier agricole. L'homme en question était l'amant de la mère. C'est de ce fait qu'il a eu à entretenir des relations sexuelles avec elle et une grossesse s'en est suivie. Le hic est que quelque temps après que la dame s'est rendue compte qu'elle traîne une grossesse, elle a remarqué que sa fille, une adolescente âgée de quatorze ans, s'est métamorphosée physiologiquement. La dame n'a pas eu de peine à se rendre compte que sa fille est, elle aussi, en état de grossesse. Et lorsqu'elle lui a posé la question de savoir qui était le père de l'enfant qu'elle porte, la fille a soutenu que c'était l'ouvrier agricole, l'amant de sa mère. Et c'est à peine si la dame ne manque pas de s'évanouir. Lorsqu'elle a pressé sa fille de questions, cette dernière lui a dit qu'il l'avait violée. Raison pour laquelle, elles sont venues à la brigade de gendarmerie de Rufisque pour porter plainte contre le gars pour viol. Le commandant de brigade, après avoir écouté leur version, a ouvert une enquête. Il a toutefois recommandé à la dame de conduire sa fille auprès d'un docteur pour chercher un certificat médical. Mais, depuis lors, la dame et la fille ne sont plus revenues à la gendarmerie. Ont-elles eu peur d'être la risée de leur quartier ? Personne ne sait pour l'instant.
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les femmes de l'émigré
13/09/2006 19:22
Deux jeunes femmes, mariées à un émigré établi en Espagne et répondant au nom de Makal Camara, né en 1973, se sont fait engrosser par leurs deux amants en l'absence de leur mari. Aussi bien les deux co-épouses que leurs amants ont été placés sous mandat de dépôt.
Les mises en cause se nomment S. M. et M. B. La première a 25 ans et l’autre 24 ans. Elles sont des co-épouses. Leur mari, Makal Camara, est un émigré en Espagne. En l’absence de leur époux, elles se sont cherchées des amants en la personne d'un chauffeur du nom de Youssouf Fadiga et d'un maçon du nom Thierno Mamadou Ndiaye. Elles ont fini par tomber enceintes des oeuvres de ces derniers. Les faits remontent au mois d'août dernier. Lorsque les deux épouses de l’ émigré du nom Makal Camara, pour satisfaire leurs besoins libidinaux, se sont trouvé des amants. S. M, la première s’est entichée avec un chauffeur du nom de Youssouf Fadiga et M. B. a commencé à recevoir dans son lit un maçon du nom de Thierno Mamadou Ndiaye. Pendant ce temps, leur époux, Makal Camara, était en Espagne pour chercher fortune et subvenir à leurs besoins. Mais malheureusement pour lui ses épouses volages n’en ont cure. Elles ont continué à recevoir leurs amants. Ces relations étaient devenu un secret de Polichinelle dans le quartier Plateau où elles habitent. Malheureusement pour elles, S. M. et M. B. finissent par tomber enceintes des œuvres de leurs amants. Comble de malheur, leur époux qui ne se doutait pas une seule fois qu'il se passait des choses à son insu et dans sa propre maison, débarque à Tamba au courant du mois d'août dernier. Il manque de s'évanouir lorsqu’il a vu les ventres ballonnés de ses deux épouses surtout qu’il n’a pas vu ces dernières depuis longtemps. Lorsqu’il les a soumis à un interrogatoire serré, chacune des épouses a indexé son amant respectivement le chauffeur Youssouf Fadiga et le maçon Thierno Mamadou Ndiaye. Sans tarder, les parents des deux épouses sont allés voir l'émigré pour tenter de régler l'affaire à l'amiable. Malheureusement, l'affaire n'ayant pas abouti. Déterminé à aller jusqu'au bout, l'émigré Makal Camara a saisi les hommes du commissaire Mame Seydou Ndour de la police de Tamba. Les deux épouses et leurs amants seront cueillis et conduits à la police. Soumis au feu roulant des questions des enquêteurs, ils craquent et avouent sans ambages les faits qui leur sont reprochés. Gardés à vue pendant 48 heures durant, les mis en cause ont été déférés au parquet puis placés sous mandat de dépôt à la citadelle du silence de Tambacounda.
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Es-ce que ça vaut la peine ? votre avis SVP
13/09/2006 19:04
ESPAGNE-AFRIQUE-SOCIETE - Catalogne: les Africains en quête de travail dans les champs se tournent les pouces
Lleida, 12 sept (APS) - Alcarras. Petite cité de la Catalogne dans le nord-est de l'Espagne, à environ plus de 500 km de Madrid. Des exploitations de pommes et de poires s'étendent à perte de vue. C'est vers cet endroit que de nombreux Africains qui ont voyagé par les pirogues ont convergé dans l'espoir de travailler dans la cueillette. Mais dans deux semaines, c'en sera fini de la saison des fruits qui va s'achever.
La période des récoltes s'étire entre mai et septembre. Ce mardi, il a plu abondamment dans la localité. Les champs sont déserts, car les conditions de travail s'avèrent difficiles avec la pluie. Dans un bar, face à l'église de la ville, de jeunes Africains devisent en sirotant des boissons.
Pour la plupart, ils étaient venus voir s'il y avait quelque chose à faire. Il va falloir se rendre à la raison, ils ne trouveront pas d'employeur en ce jour de pluie. ''De toute façon, dit un Guinéen c'est comme à la loterie, il faut tenter sa chance. Le travail est irrégulier et si vous trouvez quelque chose c'est pour environ quatre euros (2.600 FCFA) pour chaque heure de travail''.
Parmi ceux qui sont venus ces derniers temps chercher du travail figurent des ressortissants de Guet-Ndar, renseigne E. Faye, un Sénégalais employé dans une ONG. Aujourd'hui, les Sénégalais trouvés dans le bar ne veulent pas parler de leurs conditions de vie.
A quelques minutes de route d'Alcarras, se trouve la ville de Lleida. D'après Xavier Aluja Farre, un des responsables à la mairie de la ville des questions de l'immigration, environ 700 Sénégalais sont établis dans la cité. Ils ont une bonne réputation et sont très actifs dans le mouvement associatif. Mais il reconnaît aujourd'hui que dans la ville, une certaine exaspération est perceptible au sein des autochtones. ''La ville ne peut pas absorber tous ceux qui arrivent, il y a des problèmes, nous ne pouvons pas les assister, c'est du ressort de l'Etat''.
En effet, Lleida a vu arriver beaucoup d'immigrés ces dernières semaines qui, n'ayant pas où s'installer ont investi certaines places ou maisons désaffectées. Pour dormir sur des cartons. M. Bâ, un Sénégalais de Lleida, trouve que les Africains qui vivent en Espagne se sont battus ces dernières années pour conquérir des droits mais il n'exclut pas l'éventualité de voir certains remis en cause avec l'afflux massif des Africains sur les côtes canariennes.
Plus nuancé, E .Faye trouve, lui, que la presse espagnole a un peu exagéré l'ampleur du flux migratoire par sa couverture de l'évènement. ''Ce qui se passe à la frontière avec Andorre où pénètrent des milliers de Pakistanais et d'Ukrainiens est autrement plus important'', estime-t-il.
En tout cas, les télévisons espagnoles consacrent un grand temps d'antenne à l'arrivée des pirogues. Ce matin, il était question dans leurs titres ''D'avalanche d'immigrés'' ou ''Les Iles Canaries débordées avec huit cents arrivées ces derniers jours''.
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